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26 Oct

Le berceau des oiseaux du Cabo Orange

Publié par Amazonie39  - Catégories :  #Amazonie

De Parc du Cabo Orange

Les oiseaux n’appellent pas l’attention uniquement pour leur capacité de vol et les grandes migrations, mais aussi, pour les sons harmonieux et les plumages exubérantes et multicolores. Au-delà de ça, sont importantes pour l’écosystèmes à travers de la manutention de l’équilibre écologique, comme la pollinisation des fleurs, la dispersion de graines et contre les parasites que mètrent en danger l‘écosystème.

Les études des oiseaux peuvent aussi aider à travers d’informations plus complexes, comme l’indication de la qualité de l’environnement d’une certaine zone. Quelques espèces sont très sensibles à des modifications dans ses habitats et, de cette manière, la présence d’elles est un indicatif d’un environnement préservé. De l‘autre côte, il y a des espèces moins sensibles que si bénéficient des modifications de l‘habitat qui peuvent indiquer un ambiance de dégradation. Le Parc National du Cabo Orange(situé dans l’extrême nord du Brésil) a été crée en 1980, avec la finalité de préserver les 619 hectares.

De Parc du Cabo Orange

Le parc abrite approchement un peu près de 1800 espèces différents et, de ce total, 160 espèces sont menacés d’extinction pour le liste officiel publiée pour le Ministères de l’Environnement en 2003. De cette forme les oiseaux représentent le major groupe de la faune sur numéro d’espèces qui figurent sur la liste. Cette zone préservée est largement reconnue par les brésiliens, puis est le point plus extrême du Brésil. Par contre, ne sont pas beaucoup de brésiliens qui connaîtrait les beautés scéniques, les valeurs environnementaux, historique et culturel.

Cette unité est un parc continental et un parc marin, puis est formé pour une côte de 200 kilomètres d’extension et jusqu’à 10 kilomètres pour le zone marine. Dans ces limites il y a une diversité d’écosystème protégé comme: les marais, mangroves, estuaires, lacs, lagunes, champs et forêts inondables, et en petit portion de forêt de terres fermes et savanes amazoniennes(voir la carte). Tous ces ambiances offrent une variété de ressources naturels qui peuvent être explorés par différents espèces d’oiseaux, le quel propice un’ existence riche en ornithofaune.

FOTO PARC

Au-delà des richesses naturels, dans ces terres sont rencontrés beaucoup de registres matériaux et culturels de relevance historiques, sur l’occupation autrefois par différents populations indigènes et l’histoire d’un passé de lute et successives disputes territoriales entre les européens.

Le Cabo Orange situé dans un lieu stratégique de l’Amérique du sud, déjà passé pour les domaines portugais et hollandais, et après le siècle XX, une intervention internationale de la Suisse donne la frontière au Brésil. Son nom fut une hommage à couronne hollandaise, donc le nom de la famille est jusqu’à aujourd’hui “orange”. La richesse d’oiseaux sont reflexes d’une biodiversité très diversifié d’une région zoo géographique oú on trouve une quantité considérable d’espèces endémiques et qui sont généralement limitées par une barrière physique ou climatique.

Le Parc National du Cabo Orange est inséré dans la région zoo géographique d’étude de les Guyanes, qu’incluse les zones de forêts de la Guyane, Suriname, Guyane Française, lest de la Venezuela et le nord du Brésil (les états de l’Amapá et nord des états de l’Amazonas et Roraima). Ces zones partagent beaucoup d’espèces d’oiseaux en commun.

Jusqu’aujourd’hui ont déjà registrées 358 espèces d’oiseaux no PNCO(Parc National du Cabo Orange), distribuées en 69 familles. On considère que ce numéro peut-être encore plus grand, puis quelques un environnements du parc ne jamais été étudié.

Les espèces charadriiforme, les oiseaux migratoires de becs longs, sont les plus abondantes, mais il y a aussi les canards, les oiseaux percheur, les aigles, les faucons, les perroquets, etc. Ces lieux de nourriture et l’arrête au long du chemin, son de très grand importance pour la conservation des espèces migratoires puis sont-ils que les oiseaux utiliseront pour changer les plumages et faire le plan de réserves énergétiques à continuer les longues journées.

De Parc du Cabo Orange

1-Asa-branca (Dendrocygna autumnalis)

2-Pato-do-mato (Cairina moschata)

3- Socó-boi(Tigrisoma lineatu)

4- Biguá(Phalacrocorax brasilianus)

5- Biguatinga (Anhinga anhinga)

De Parc du Cabo Orange

 

6-Garça-real(Pilherodius pileatus) 

7-Socozinho(Butorides striata)

8-Garça-branca-grande(Ardea alba)

9-Tesourão(Fregata magnificens)

10-Garça-branca-pequena(Egretta thula)

 

 Champs inondables, mangroves et autres zones côtières

Ces types de végétations sont prédominants dans le PNCO. Dans ces zones sont observées les espèces typiquement de plages et mangroves comme: les biguás (Phalacrocorax brasilianus), les gaviões caranguejeiros (Buteogallus aequinoctialis), figuinhas-do-mangue (Conirostrum bicolor), et de plusieurs espèces de garças, socós, maçaricos, batuíras et martins-pescadores. Mais aussi, dans les zones de mangrove sont trouvées des espèces communs aux milieux forestiers, par exemple le arapaçu-de-bico-branco (Xiphorhynchus picus). En attention particulier pour les grands quantités d’oiseaux que font de la zone de mangrove ses lieux de repos les garças (Ardea alba, Egreta thula, Egreta caerulea), guarás (Eudocimus ruber) e colhereiros (Platalea ajaja), et quelques cegonhas (Mycteria americana, Ciconia maguari e Jabiru mycteria).

Dans la rivière du Marrecal, on trouve des canards comme: l’irerê (Dendrocygna viduata), le pato-do-mato (Cairina moschata), les quels utilisent les champs inondables pour les changements de plumages, phénomène connu comme “desasagem”.

La protection des ces zones est essentiel pour la préservation de ces oiseaux, puis en période d’échanges, septembre à novembre, les espèces restent incapacités de voler, et son victimes fragiles de les prédateurs et les chasseurs.

Plages et zones inondables

La pointe du Cabo Orange est l’autre zone de grande importance, puis est un terrain de nourriture du flamingos (Phoenicopterus ruber) et un des peu lieux d’occurrence de colonies reproductives d’espèces en terrain brésilien. Il y a des occurrences aussi d’oiseaux migratoires qu’arrivent de l’hémisphère nord(septembre à avril) - les maçaricos et batuíra.

Entre les espèces suivantes observées pouvons citer: les maçaricos branco (Calidris alba), rasteirinho (Calidris pusila), de-papo-vermelho (Calidris canutus), de-perna-amarela (Tringa flavipes) et le grande-de-perna-amarela (Tringa melanoleuca), le batuiruçu-de-axila-preta (Pluvialis squatarola) et la batuíra-debando(Chararius semipalmatus). La gaivota-alegre (Larus atricilla) est une autre espèce migratoire de l’hémisphère nord, habituellement trouvées en plages et zones marines do PNCO.

L’île du Perroquet, dans l’embouchure du fleuve l’Oyapock est autre point d’observation d’oiseaux, puis elle est un point de rencontre de plusieurs espèces de psittacidés(oiseau arboricole de régions tropicales), comme le periquito-de-asa-branca (Brotogeris versicolurus), la curica (Amazona amazonica), les perroquets moleiro (Amazona farinosa), le campeiro (Amazona ochrocephala) et le apuim-de-costas-azuis (Touit purpuratus).

Les forêts Ombrophile et marais

Dans ces milieux de terre ferme sont trouvées espèces typiquement forestiers, mais dans ces zones inondables, proches à lacs et cours d’eaux, il y a une diversité d’oiseaux aquatiques communs à les zones côtières du parc, comme par exemple, les familles d’Ardeidae (garças e socós), Threskiornithidae (guará, colhereiro, curicaca), Charadriidae (batuíras), Scolopacidae (maçaricos), Alcedinidae (martins-pescadores), Rallidae (saracuras et poulets d’eau) et Hirundinidae (hirondelles). D’entre eux, les groupes d’oiseaux forestiers mais significatifs on peut citer les espèces de grande taille que se nourrissent de fruits sur les arbres, don c’est un bon signe de qualité de écosystème. Quelques- un exemples de ces représentants registrés en parc: les araras canindé (Ara ararauna) et vermelha-grande (Arachloropterus), les tucanos grande-de-papo-branco (Ramphastos tucanus) et de-bico-preto (Ramphastos vitellinus), le maú (Perissocephalus tricolor), le anambé-pombo (Gymnoderus foetidus) et les pombas amargosa (Patagioenas plumbea) et bota-fogo (Patagioenas subvinacea).

La quantité de psittacidés(oiseau arboricole des régions tropicales de plumage très coloré et au bec recourbé) trouvés dans le parc, signale que le zone est bien protégée, puis, en certains écosystème plus perturbées, ces oiseaux rares souffrent pour la pression des trafiquantes.

Les oiseaux des familles Cracidae (jacus et mutuns) et Tinamidae(inhambus)aussi sont bons indicateurs de protection environnemental, puis ils on l‘habitude d’être persécuteurs par des chasseurs. Quelques-uns exemples registrés: o inhambu-preto (Crypturellus cinereus), o tururim (Crypturellus soui), o inhambu-anhangá (Crypturellus variegatus) e o jacumirim (Penelope marail).

La présence d’aucunes espèces forestiers que se nourrissent d’insectes aussi est significative, par étaient sensible l’altération de l’environnement. Des exemples: les picapaus de coleira (Celeus torquatus) et de-barriga-vermelha (Campephilus rubricollis), la choca-murina (Thamnophilus murinus), le papa-formigade-topete (Pithys albifrons), la galinha-do-mato (Formicarius colma) et les arapaçus pardo (Dendrocincla fuliginosa), de-bico-comprido (Nasica longirostris) et meio-barrado (Dendrocolaptes picumnus).

Le registre de grands prédateurs de la chaîne alimentaire, comme plusieurs espèces forestiers de faucons gaviões et chouettes, aussi le gavião-azul (Leucopternis schistaceus), que vivre prochain au cours d’eau et marrais.

Savanes Amazoniennes

Les savanes dedans de la zone du parc sont formées par petites morceaux de végétation, isolées dans les forêts. La major partie de ces espèces trouvées dans ces terrains sont aussi commun à les habitats ouverts de la biomasse de l’Amazonie, comme les champs inondables et forêts secondaires. Les espèces de la savane, a pipira-vermelha (Ramphocelus carbo), le sanhaçuda-amazônia (Thraupis episcopus), le sanhaçu-do-coqueiro (Thraupis palmarum) et la saíra-de-bando (Tangara mexicana)

Pourtant, dans les savanes est présent l’autre ensemble d’espèces que sont typiquement associés à biomasse par exemple: la rolinha-roxa (Columbina talpacoti), le periquito-rei (Aratinga aurea), o beija-flor-vermelho (Chrysolampis mosquitus), le balança-rabo-de-chapéu-negro (Polioptila plumbea) et le tico-tico-do-campo (Ammodramus humeralis).

Conservation d’espèces

Travers des registres plus récente d’oiseaux du Parc National Cabo Orange, n’il y a pas des espèces d’oiseaux menacées d’extinction. D’abord, il y a plusieurs espèces avec un certain degrés de menaces qui ne sont pas registrées dans la zone du parc: le trinta-réisreal (Thalasseus maximus), considéré vulnérable à extinction, et le bicudo (Sporophila maximiliani), considéré fortement menacé, les deux sont sur la liste brésilienne d’espèces menacées; aussi le uiraçu-falso (Morphnus guianensis), le gavião-real (Harpia harpyja), le piui-boreal (Contopus cooperi) et la cigarra-do-campo (Neothraupis fasciata), tous consideres quasi menacés pour la liste global d’espèces en risque d’extinction da IUCN. Le parc aussi a s’importance ample pour la préservation de biodiversité faunistique dans le territoire brésilien, puis maintien protégés les espèces que sont absente ou peu représentées en autres unités de conservation brésilien.

L’Amapa est l’unique état brésilien qu’on observe le flamingo(Phonicopterus ruber). Au-delà, il y a quatre espèces endémiques de la région zoo graphique du plateaux des Guyanes que, en territoire brésilien, exclusive ou quasi exclusive à l’Amapa: le piui-queixado (Contopus albogularis), la chocade-cauda-pintada (Sakesphorus melanothorax), le chorozinho-de-cabeça-pintada (Herpsilochmus stictocephalus) et la maria-boudina (Hemitriccus josephinae). Ces dernières ne sont pas registrées dans le parc, mais ont été vu sur la zone.

Par se situer dans une zone de frontière, le parc a aussi un potentiel de abriter espèces qu’ont répartition en Guyane Française, mais que encore ne furent pas listées pour le Brésil ou que as présence douteuse, selon le Comité Brésilien de Registres Ornithologiques - CBRO, comme par exemple: deux saracuras (Aramides axillaris et Porzana carolina), une aigle (Harpyhalietus solitarius), un apuim (Touit batavicus), un perroquet (Amazona dufresniana) et le suiriri valente(Tyrannus dominicensis).

Les observateurs doivent rester surveillants pour éventuels registres de ces espèces. Ainsi, considérons que le PARNA Cabo Orange a un grand potentiel pour les activités d’observation d’oiseaux dans la nature, par cause de plusieurs colonies et de beautés rares et la diversités d’espèces que représentent une répartition particulier au extrême nord du Brésil.

Trois caractéristique son très importantes pour développer le sens observateur des oiseaux: patience, persistance et mémoire visuel (la mémoire auditive est aussi désirée, puis les sons produits pour les oiseaux aident dans l’identification). Toujours importante observer l’oiseau avec très attention à réaliser une correcte identification comme: la taille et la forme, la coloration des leurs plumages, les yeux, les becs et pieds, et autres particularités des oiseaux.

Font: Guide des Oiseaux du Parc National du Cabo Orange

Photos: Robson Esteves Czaban e Ciro Albano

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je vous amènerai à découvrir deus régions de nature inoubliable, Macapá au Brésil dans l'Amazonie ma ville natale, et le Jura où j'ai habité pendant sept ans :) Merci pour votre visite!